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51 | 2016/06/06 Solange Martin épouse de Roch Richer
C’EST AVEC TRISTESSE que nous vous annonçons le décès de MME SOLANGE RICHER (née Martin) Elle est décédée le 6 juin 2016 à l’âge de 90 ans. Fille de feu Hervé Martin et de feu Oriza Filion, elle laisse dans le deuil ses quatre enfants : Nicole Richer, Martial Richer, Ghislaine Richer et François Richer; ses sept petits-enfants : Christian Weiler, Frank Weiler (Carrie), Anya Weiler, Marilyn Weiler-Peterson (Christopher) et Monica Weiler (Amar), Patrick Richer (Anne-Marie Parent) et Sophie Richer (Antoine Parker) ainsi que huit arrière-petits-enfants. Elle laisse également dans le deuil ses soeurs Georgette Martin (Alban Bray) et Fleurette Martin-Racine (Percy). Elle fut prédécédée par trois frères : Serge, Brian et Réjean et par une soeur, Sr Yolande Martin, ainsi que par le père de ses enfants, Roch Richer. Les visites auront lieu de 9 h à 11 h, le samedi 11 juin 2016 à : la Maison funéraire & chapelle Lafleur, 709, rue Principale, Casselman Le service religieux suivra à 11 h 30 en l’église Ste-Euphémie de Casselman. Vos marques de sympathie peuvent se traduire par des dons à la Fondation de l’Hôpital Montfort (713, ch. Montréal, Ottawa, ON, K1K 9Z9). | |||
52 | 2016/06/17 Jean Richer C’est avec tristesse que la famille vous annonce le décès de M. Jean Richer décédé le 17 juin 2016, à l’âge de 48 ans. Il était le fils de Gaétan Richer et le fils de Marguerite Lapratte. Outre ses parent, il laisse dans le deuil son fils Maxime (Valérie Lessard), sa petite-fille Cloé. Il laisse également dans le deuil sa soeur Julie (Nasser Osman), son neveux Yacoub et sa nièce Safia ainsi que plusieurs oncles, tantes, cousin(e)s, parents et ami(e)s. Une célébration de la vie aura lieu le lundi 27 juin, 2016 à 18h à la COOPÉRATIVE FUNÉRAIRE DE L’OUTAOUAIS située au 95, boul. Cité-des-Jeunes à Gatineau (secteur Hull). La famille recevra les condoléances à compter de 17h30. Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation des Maladies du coeurs du Québec et ou à la Fondation canadienne du Rein. La famille désire remercier le personnel de l'Hôpital de Hull plus particulièrement le personnel de l'hémodialyse pour les bons soins prodigués. | |||
53 | 2016/06/20 Serge Richer Serge Richer À Ste-Geneviève, le 20 juin 2016 à l'âge de 69 ans est décédé Serge Richer. Il laisse dans le deuil son conjoint Yves, son frère Yves, sa soeur Nicole (Normand), son beau-frère Hubert, sa belle-soeur Noëlla, neveux et nièces parents et amis. Service funéraire Les funérailles auront lieu le 25 juin 2016 11:30 à l'adresse suivante: 16037, boul. Gouin O.,Ste-Geneviève - en l'Église Ste-Geneviève. La famille sera à l'église à 10h30 pour recevoir vos condoléances. De là nous nous rendrons au cimetière Cap St-Jacques. | |||
54 | 3. Journée du 15 septembre à Louvetot Brève description de la journée du 15 septembre 2007 à Louvetot à l'occasion du dévoilement d'une plaque en honneur à notre ancêtre | |||
55 | 3. September 15, 2007 : A day in Louvetot (Normandy, France) Brief description of the day of 15 September 2007 in Louvetot on the occasion of the unveiling of a plaque honoring our ancestor | |||
56 | 3.Le Rassemblement des Richer dit Louveteau d'Amérique les 2 et 3 juillet 2011 à Montréal | |||
57 | 4. Visite à Louvetot le 15 septembre 2007 Vidéo fait à partir de photographies prises lors du voyage d'un groupe de descendants de Jacques Ériché, au village d'origine de l'ancêtre en septembre 2007. |
Propriétaire de l'original: François Richer Date: 15 septembre 2007 |
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58 | 4.Visit to Louvetot on September 15th, 2007 | |||
59 | 6. Les Richer à Ste-Geneviève-de-Pierrefonds Bref historique de l'établissement des Richer dit Louveteau à la Côte Sainte-Geneviève, territoire correspondant aujourd'hui aux arrondissements de Ste-Geneviève et Pierrefonds sur l'île de Montréal. | |||
60 | 6.The first Richers in Ste-Geneviève. A brief history of the establishement of the Richers dit Louveteau at Côte Sainte-Geneviève, a territory now corresponding to the Montreal districts of Ste-Geneviève and Pierrefonds. | |||
61 | Acte de baptême de Damase Richer jr en 1864 | |||
62 | Acte de baptême de François Riché le 22 octobre 1702 Baptême de François, fils de l'ancêtre Jacques Ériché à Notre-Dame de Montréal le 22 octobre 1702 | |||
63 | Adrienne Richer Fille d'Henri Richer et Lovanie Schmildt. Elle est née le 9 novembre 1922 à Montebello en Outaouais. Elle a épousé Yvon Giroux, fils d'Emmanuel Giroux et Marie Chénier, le 31 juillet 1947 à Plantagenet, Ontario. Elle est décédée à Hull le 24 avril 1988 | |||
64 | Alcide Richer | |||
65 | Alphonsine Legault Alphonsine Legault, fille de Louis Legault et Elmire Perrier, est née le 12 janvier 1862 à Ste-Marthe. Elle a épousé Adolphe Richer, fils de François Richer et Marie-Rose Brunet à Ste-Marthe, en Montérégie, le 19 septembre 1880. De cette union sont nés 17 enfants dont Henri Richer. Elle est décédée le 29 mai 1934. | |||
66 | Amédée Richer & Victoria Cayer +- 1890 Amédée Richer fils de Jean-Baptiste Richer et Tharsile Deschamps est né le 20 février 1863 à Alfred, Ontario. Il a épousé Victoria Cayer, fille de Narcisse Cayer et Flavie Landriault née le 28 septembre 1874 à Papineauvile. Ils se sont mariés le 15 septembre 1890 à Massey, Ontario et ont eu 16 enfants. Amédée est décédé le 11 janvier 1947 à Massey et Victoria le 7 novembre 1950 aussi à Massey. Amédée Richer son of Jean-Baptiste Richer and Tharsile Deschamps was born February 20, 1863 in Alfred, Ontario. He married Victoria Cayer, daughter of Narcisse Cayer and Flavie Landriault born September 28, 1874 at Papineauvile. They were married September 15, 1890 in Massey, Ontario and had 16 children. Amédée died January 11, 1947 at Massey and Victoria 7 November 1950 also at Massey. | |||
67 | Angèle Charlebois, seconde épouse de Jean-Baptiste Richer Angèle Charlebois née le 22 mai 1832 à Montebello, fille de Jean-Baptiste Charlebois et Louise Cécile Fortin. Elle est la seconde épouse de Jean-Baptiste Richer, fils de Jean-Baptiste Richer et Marie-Thérèse Dupras et mère de 3 enfants Richer dont Louis, époux de Louisa Pelletier. Elle est décédée le 20 avril 1901 à l'Hôpital Général d'Ottawa. Angele Charlebois was born 22 May 1832 in Montebello, daughter of Jean-Baptiste Charlebois and Louise Cécile Fortin. She is the second wife of Jean-Baptiste Richer, son of Jean-Baptiste and Marie-Therese Dupras and mother of three children including Louis Richer, husband of Louisa Pelletier. She died April 20, 1901 at the Ottawa General Hospital. | |||
68 | Angélique Huot Angélique Huot chez son fils Joseph Lachaîne au Lac des Écorces en 1937 | |||
69 | Angélique Huot | |||
70 | Angélique Huot Angélique Huot avec son gendre, Damase Richer, à la résidence de son fils Joseph Édouard Lachaîne et de sa belle-fille Exilia Dufresne au Lac des Écorces en 1937 | |||
71 | Armoiries des Richer dit Louveteau d'Amérique Description héraldique: D’azur à un chevron de sinople surmonté d’une croix d’or cantonnée de deux épis du même, accompagné d’une pointe d’un tricorne de sable, au chef d’argent chargé d’un loup de sable. Devise des Richer dit Louveteau: Riche de cœur et d’esprit. Signification: Le fond bleu de l’écu symbolise nos origines françaises ainsi que le fleuve Saint-Laurent que notre ancêtre a du utiliser pour venir en Nouvelle France. Le chevron vert surmonté d’une croix or représente le Mont-Royal, symbole de Montréal, lieu d’établissement de Jacques Richer dit Louveteau. Les épis or rappellent que les premières générations vivaient du travail de la terre. Le tricorne a été porté par notre ancêtre en qualité de soldat. Le loup, symbole noble et courageux, rappelle Louvetot, son lieu d’origine en France, qui a aussi le loup dans ses armoiries. Ces armoiries ont été créées à l'occasion du Rassemblement des Richer dit Louveteau d'Amérique les 2 et 3 juillet 2011. Notre ancêtre étant d'origine modeste, ni lui ni ses parents ne possédaient d'armoiries en France. | |||
72 | Augé Église Saint-Grégoire Église Saint-Grégoire classée monument historique en partie du XIe siècle, dont le chœur est reconstruit au XIIIe siècle dans le style gothique angevin. Chapelle du prieure Saint-Hilaire, peut-être du XIe siècle. Plusieurs lavoirs et fontaines. Centre bourg pittoresque à flanc de colline Site de l'attaque d'un convoi allemand en août 1944. En représailles, les allemands mettent le feu à une partie de l'église. Voyant que le médecin de la commune soignait les blessés allemands, les otages sont relâchés |
Propriétaire de l'original: Wikipedia |
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73 | Avis de décès
Obituaries | |||
74 | Baptême de Damase Richer Sr en 1841 | |||
75 | Baptême de Georges Marion_1664.jpg | |||
76 | Baptême de Jeanne Mercier(1).jpg | |||
77 | Baptême de Joseph Marie Richer 1736 | |||
78 | Charlotte Marion_S_1832.jpg | |||
79 | Château d'Azay-le-Rideau Le château d'Azay-le-Rideau, propriété de l'État français, classé Monument historique. Le style d'Azay-le-Rideau est d'une pureté incomparable. La construction a été terminée dans l'espace de 8 ans. Au XIXe siècle, son propriétaire, le marquis de Biencourt, fit apporter des modifications à son aspect extérieur. Une grosse tour fut abattue et remplacée, tandis qu'une tour identique était ajoutée à l'angle nord-est, réalisant ainsi une symétrie parfaite. Nulle part ne fut réalisée plus complète harmonie entre un monument et un paysage |
Propriétaire de l'original: Wikipédia |
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80 | Château de Bétous Bétous est une des plus anciennes communes de l'Armagnac, dont le nom signifie lieu planté de bouleaux. Le manoir des seigneurs de Bétous construit au XVIIe fut remanié au XIXe et constitue l'actuel château de Bétous. Au XVIIIe il existait sur la commune une faïencerie et une tuilerie. |
Propriétaire de l'original: Wikipédia |
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81 | Château de Coureilles Château situé à proximité du lieu d'origine de cette ancêtre. | |||
82 | Clémence Sauriole_S_1824.jpg Sépulture de Marie Clément (Clémence) Sauriol dit Sansoucy | |||
83 | Clement_X_Daunais_M1797.jpg Acte de mariage d'Ignace Clément et Marie Amable Daunais en 1797 | |||
84 | Clément_X_Limoges_M1774.jpg Acte de mariage de Ignace Charles dit Clément et Marie Céleste Limoges | |||
85 | Coat of arms of the Richer dit Louvetot of America Heraldic description Azure one chevron Vert surmounted by a gold cross cantoned with two ears of the last, in base a tricorn sable, in chief argent a wolf sable. Motto of the Richer dit Louveteau : Rich in heart and spirit Meaning The blue background symbolizes our french origin as well as the Saint-Lawrence river on which our ancestor had to sail to arrive in New France. The chevron Vert surmounted by a gold cross represents the Mount-Royal, symbol of Montreal, where Jacques Richer dit Louveteau settled. The golden ears remind us that the first generations were farming the land for living. The tricorn has been weared by our ancestor as a soldier. The wolf, brave and noble symbol, reminds Louvetot, his place of origin in France, which has also the wolf in their coat of arms. This coat of arms was created on the occasion of the gathering of the Richers dit Louveteau of America on July 2nd and 3rd, 2011. Our ancestor being of modest origin, neither him nor his parents had personal coat of arms in France. | |||
86 | Concession d'une terre à Jacques (fils de l'ancêtre) Copie de l'acte notarié daté du 14 juin 1720 par lequel le Seigneur de Repentigny concède une terre à Jacques Jr (fils de l'ancêtre)à la Rivière Mascouche. La transcription de l'acte est en parallèle à l'acte lui-même. | |||
87 | Concession of land to Jacques jr in Lachenaie Grant of land to Jacques Loufto Jr. in Lachenaie on June 14, 1720 | |||
88 | Contrat d'enseignante | |||
89 | Damase.gif | |||
90 | Damase.gif | |||
91 | Dénombrement de Ste-Geneviève 1825 Recensement des familles de Ste-Geneviève en 1825 indiquant le nom du chef de famille, le nombre de personnes selon le sexe et l'âge pour chacune des maisons du territoire de la paroisse. | |||
92 | Désiré Charron | |||
93 | Désiré Charron et sa deuxième épouse, Clémence Filiatreault | |||
94 | Donalda Roy_1912.jpg | |||
95 | Église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien d'Azay-sur-Indre Érigée au XIII è siècle | |||
96 | Église St-Étienne à Ars-de-Ré, Seine-Maritime, France Cette église est l'une des plus anciennes de Ré. Le premier monument, dont il n'y a pas de trace, est édifié au VIe siècle. C'est, alors, un petit prieuré, rectangulaire, dépendant de l'abbaye de Saint-Michel-en-l'Herm. Par la suite, au XIIe siècle, sont construites les deux croisées d'ogives archaïques, ornées de fleurettes et d'entrelacs, qui font suite à la croisée sous coupole, de style roman. Une tour est également érigée, mais elle n'est haute que de treize mètres. Vers le XVe siècle, cet édifice est agrandi, et le clocher, noir et blanc, de plus de 40m de haut, de style gothique flamboyant, est construit. L'ensemble est classé Monument Historique, le 29 décembre 1903. |
Propriétaire de l'original: Wikipédia |
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97 | Église St-Laurent de Beaumont-sur-Oise, France L'édifice est classé au titre des monuments historiques par liste de 18621, avec quatre autres édifices sur le territoire de l'actuel département du Val-d'Oise. Cinq ayant été classés par liste de 1840, l'église Saint-Laurent est ainsi parmi les dix premiers monuments historiques du Val-d'Oise. La première mention de l'église date de 1170, mais son authenticité n'est pas assurée, et l'on ne possède aucun document relatif à la construction de l'église. Sa partie la plus ancienne, à savoir la cinquième travée du bas-côté nord ayant servie de base à un clocher arasé en 1778 à hauteur des combles, ainsi que les parties adjacentes, peuvent être datées d'autour de 1130. Le chœur est de quelques décennies plus jeune et remonte probablement au troisième quart du XIIe siècle. Le reste de l'édifice date du premier tiers XIIIe siècle, excepté la sacristie au sud du chœur ajoutée au XIVe siècle, et le clocher-tour devant la première travée du bas-côté sud qui date du XVIe siècle. L'on ne sait pas si l'église de la seconde moitié du XIIe siècle fut détruite par un incendie ou était restée inachevée2,3. La nef avait été conçue pour être voûtée d'ogives, mais elle a été finalement recouverte d'une charpente apparente en forme de carène renversée, s'appuyant sur les chapiteaux initialement prévus pour recevoir la retombée des ogives et des arc-doubleaux. La physionomie de la charpente est connue grâce à un dessin exécuté par Henri Léonard Bordier, chargé par le maire d'une courte notice sur l'église. En 1734, la charpente a été dissimulée derrière une fausse voûte en berceau en plâtre financé par le legs de Charles d'Aubigny (1768-1734). Cette voûte commençait un peu en dessous des arcades faisant communiquer la nef avec les bas-côtés, et cachait ainsi entièrement les arcades des tribunes, si bien que l'existence de ces dernières avait été complètement oubliée au moment que le berceau fut abattu en 1860 |
Propriétaire de l'original: Wikipédia |
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98 | Église St-Symphorien à Avignon où fut baptisé cet ancêtre Construit dès 1267, extra muros, les Grands Carmes s'y installent jusqu'en 1791. Une reconstruction est initiée par Jean XXII en 1320 mais les travaux sont toujours en cours sous Clément VI, qui prolonge son financement. Elle est consacrée définitivement le 10 avril 1520. Vers 1572, le roi Charles IX nomma Antoine Subiet, ancien enfant de chœur de cette église et musicien ecclésiastique réputé à la Chapelle royale, évêque de Montpellier. En qualité de cette fonction, il créa une fondation remarquable pour les enfants de chœur auprès de Saint-Symphorien-les-Carmes. Après un effondrement du mur méridional en 1672, un remaniement de l'édifice est engagé. Durant la Révolution, le bâtiment devient le lieu de réunions publiques, puis le siège du Club des Jacobins avignonais. |
Propriétaire de l'original: Wikipédia |
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99 | Église St-Symphorien à Azay-le-Rideau L'église Saint-Symphorien est l'église paroissiale d'Azay-le-Rideau. Une église existait déjà sur ce site au VIe siècle, elle faisait partie d'un domaine donné à l'abbaye de Cormery vers 1030. Les moines la restaurèrent au XIe siècle puis l'agrandirent au XIIe siècle. La deuxième nef avec son portique en « anse de panier » et sa vaste baie de style flamboyant fut terminée en 1519. Les seigneurs d'Azay ajoutèrent une chapelle, en son sud en 16033. Le vitrail de la chapelle ainsi que tous les vitraux de la façade sud furent détruits pendant la Seconde Guerre mondiale ; les verrières ont été remplacées en 1955, sous la direction des Beaux-Arts, par des vitraux modernes qui sont l'œuvre du maître verrier Max Ingrand. La façade du XIe siècle conserve d'intéressants éléments sculptés. |
Propriétaire de l'original: Wikipédia |
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100 | Enregistrement de Mme Damase Richer (Hermélia Lachaîne) le 22 juin 1918 Le 22 juin 1918 Hermélia Lachaîne s'enregistre comme cela est exigé par le gouvernement fédéral. L'enregistrement est fait par une sous-registraire, Clara Cardinal. Clara deviendra sa bru en 1920 en épousant Émile Richer, fils d'Hermélia. À noter que le numéro de téléphone qui apparaît dans le carnet, 127 St-Louis, est un véritable numéro de téléphone de Montréal à cette époque. Le gouvernement est clair en ce qui concerne cet enregistrement obligatoire: "Le samedi, 22 juin, toute personne de l'un ou l’autre sexe, demeurant au Canada, âgée de 16 ans ou plus, doit se présenter en l'un des endroits indiqués pour l'enregistrement de la population, entre les heures de 7 heures du matin à 10 heures du soir, et y répondre véridiquement à toutes les questions énoncées sur la carte d'enregistrement." "Après avoir signé la carte et atteste ainsi l'exactitude des réponses, l'homme ou la femme, en cause, recevra un certificat d'enregistrement selon le modèle ci-dessous, que chacun désormais devra porter sut* soi." "Le défaut d’enregistrement entraîne une peine maximum de $ 100 d'amende et un mois d'emprisonnement, plus une peine additionnelle de $10 pour chaque jour, à dater du 22 juin, où l'enregistrement n’aura point été fait. Aucun emploi ne pourra légalement être donne aux personnes non enregistrées, lesquelles seront incapables de toucher salaire pour travail accompli après le 22 juin. Les patrons gardant à leur service des employés non enregistrés seront passibles des mêmes amendes que celles applicables aux employés eux-mêmes. Les personnes non enregistrées ne pourront pas légalement acheter des billets de parcours et seront dans le cas d’être empêchées de voyager par chemin de fer, bateau, etc. De même, elles seront exposées à se voir refuser la table et le logement en tout hôtel, restaurant, maison de pension, ou maison quelconque ouverte au public. En un mot—toutes personnes non enregistrées et toutes personnes qui traiteront avec celles-ci, les sachant telles, encourront des peines lourdes de par la loi." |